BOUCHON
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Goulot d'étranglement |
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Ensablement de la baie |
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Entretien inexistant |
Entretien des berges
Agrandissement de l'écluse maritime par la suppression du môle central
agrandissement de ce bief pour servir de réservoir d'attente lors des grandes marées
Entre les deux embouchures Seine et Nord vers
la Manche, à mis-chemin
la Somme prolongée par son canal se déverse à St-Valéry.
Seule la Somme, exutoire des
déversoirs
de la ligne de partage des eaux du canal du Nord et du canal St-Quentin,
n'est plus navigable. Or la partie haute de ces canaux doit
être alimentée en permanence pour être navigable.
Des pompes installées à cet usage permettent le transfert des eaux des parties
basses vers les biefs de partages (certaines
installations peuvent être inversées)
Des
eaux de l'Oise au départ de Pont l'Évêque
alimentent le bief de partage des eaux du canal du Nord
Une dérivation de la rigole de
l'Oise et de Noirieu alimente normalement le canal St Quentin mais peut être déviée directement vers la Somme.
La Somme, entretenue par la DDE, gérée par le Conseil Général et un bassin de délestage pour VNF. Ce qui permet à VNF qui a, de la parole même d'un de ses responsable, "plus la culture de l'étiage que de l'inondation",de réguler les canaux de navigation sous sa gestion.
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rigole de l'Oise et de Noirrieu
Dossier VNF mis en place après catastrophe et enquêtes
Le canal St Quentin, le canal du Nord, les bassins de la Sambre de l'Aisne et de l'Oise du même bassin versant, sont exploités par VNF (Voies Navigables de France)
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NAVIGATION |
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Somme et canal de la Somme |
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St Simon - Voyennes - Péronne - Abbeville - St-Valéry |
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| Long | 36,419 + | 105,410 + | 14,171 = | 156 km |
| écluses | 5 + | 18 + | 2 = | 25 |
| T.A | 3,50 | 3,50 | 3,50 | 3,50 |
| T.E | 1,80 | 1,80 | 3,10 | 1.80 |
| dim. écluses | 38,50X5,10 | 38,50 X 5,80 | 40 X 8 | 38,50X5,10 |
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Ces indications théoriques, ne sont pas respectées |
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La navigation au gabarit Freycinet nécessite un tirant d'eau de 1,80m. La garde sous le bateau doit être de 0,40m soit une profondeur totale de 2.20m, ce qui n'est le cas nulle part sur la Somme.
Le gestionnaire des voies navigables du bassin versant doit être responsable de ses délestages et du bon état d'entretien de la SOMME qui en est l'agent régulateur indispensable à sa mission.
Ainsi en 2000 sur 4 ports seulement 60.000 tonnes de céréales ont été transportés par péniche économisant 2.600 camions
Le retour de la navigation
donnera à la région une dynamique économique, touristique et
écologique
- un transport non polluant, moins dangereux, moins cher qui libèrera les routes. (l péniche remplace 18 camions de 20 tonnes ,
- un développement de l'activités touristique fluviale avec des bateaux,
de croisières, de promenade, de location et de particuliers français et
étrangers
- un développement industriel et commercial grâce à un transport à
coût moindre, une
économie de stockage, des entreprises écologiquement moderne et près de la voie d'eau.*( les PPRI sont à ce stade un danger au développement
économique)
- un résultat indirect par l'entretien régulier et automatique de la voie d'eau,
un écoulement des nappes phréatiques superficielles, bref un
nouvel équilibre humain, économique et écologique.
Ce vaste champs d'expérience pourrait se développer, en exemple, hors esprit de mainmise, de prélèvements à courte vue, de technocratie conquérante mais avec une fonction publique non jalouse de ses pouvoirs, consciente de la part active qu'elle prendra à participer au développement du pays en se portant au service des entrepreneurs.
L'entretien et la bonne régulation des canaux est également indispensable au regard de nos voisins car contrairement au nuage de Tchernobyl l'eau ne s'arrête pas aux frontières....