Les
Ambiguïtés des Banques :

Mise
en garde N°1 :
Les
cautions OSEO-Sofaris, SIAGI et SOCAMA censées intervenir
à hauteur de 50, 70 ou 90 %, présentée par les banquiers
comme garanties de 1er rang ne sont en réalité
qu’un leurre et des propos mensongers visant à tromper et
à obtenir la signature des victimes ! En cas
de difficultés, lorsqu’il s’agit pour la banque
d’actionner ces garanties, elle ne le fait jamais car elle
a plus à y gagner en assignant en justice la caution plutôt
que de solliciter simplement l'intervention de ces
organismes.
Et
pourtant lors de la souscription du prêt, une
assurance forfaitaire sur ces garanties OSEO-Sofaris, SIAGI
et SOCAMA a bien été prélevée sur le compte de la
victime . Ces organismes sont censées
intervenir à la moindre défaillance, seulement lorsque les
difficultés surviennent la victime cautionnaire se retrouve
livrée à elle-même.
Désemparée,
la victime se tourne dés lors vers OSEO-Sofaris, SIAGI ou
SOCAMA croyant trouver là une garantie fiable initiée par
l'Etat, et là ces organismes, expliquent à
la victime fermement et sans état d’âme que la garantie
ne lui profite pas à elle mais à la banque
‘’propos qui jusqu’ici ont été dissimulés par la
banque à la victime ’’. En
effet seule la banque peut décider d’actionner ces
garanties ou pas . CONFORMEMENT AU
CONTRAT DE CONTRE GARANTIE SIGNE ENTRE LA BANQUE ET CES
ORGANISMES, CETTE GARANTIE NE POURRA ETRE ACTIONNEE QU’EN
DERNIER RECOURS ! Et c'est à ce
moment là que SIAGI, OSEO-Sofaris, et SOCAMA
disparaissent de la nature laissant ainsi la proie entre les
crocs du prédateur.
Ce
que nous cachent les banques et ces organismes de
cautionnement, c’est qu’il existe entre eux un
contrat dit de contre garantie qui stipule que les garanties
OSEO-Sofaris, SIAGI et SOCAMA ne bénéficient qu’à la
banque et ne s’appliqueront qu’en dernier recours après
que la banque ait poursuivi et démuni l’entrepreneur de
tous ses biens personnels. Mais
à aucun moment cette mise en garde n'est portée à la
connaissance de la caution solidaire avant de signer.
Mise
en garde N°2 :
Pour
obtenir la signature des victimes, les banques n’hésitent
pas à jouer sur la ‘’SECURITE’’ soit disant offerte
par ce dispositif d'aide à la création d'entreprise. Pour
ne citer qu'un organisme ‘’Conformément aux
articles 6 et 10 de la convention signée avec OSEO-Sofaris,
vos biens personnels sont protégés !’’ nous explique
le banquier !
Seulement
à l’heure des comptes les banques n’hésitent pas une
seule seconde à transgresser la clause art.6 et 10 d’Oséo
inscrite dans le contrat visant à protéger l’habitation
principale de la caution.
Les
magistrats dépassés par la complexité de ces dispositifs et
de par la méconnaissance de cette clause d'OSEO,
finissent à tort par accorder aux banquiers une hypothèque
sur l’habitation principale de la caution. Les banques
finissent ainsi par anéantir leurs victimes.
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