Il est apparu très vite que rien ne pouvait aboutir sans
répondre, au préalable, au refus de ces mesures
inconsidérées, irresponsables et suicidaires pour le
développement de la Voie d'Eau. Il est apparu aussi que seule
la CNBA avait été avertie de ces restrictions d'usages
nonobstant les professionnels non adhérents, la plaisance dans
son ensemble, les bateaux passagers, les loueurs, les activités
fluviales de rivières ou de berges, les entreprises
hôtelières, etc..
Sont concernés, en dehors du transport, le tourisme,
l'environnement, l'économie, l'écologie, nos relations avec
l'étranger.. et les droits fondamentaux du domaine public, de
libre circulation, d'entrave à toutes activités,
Cette dictature et les nombreuses
difficultés évoqués : baisse de tonnage, ralentissement des
services et des écluses toutes imputables à une très mauvaise
gestion et une absence complète d'entretien donnent le droit
de s'interroger sur la "mission" réelle de VNF
?
Était-ce la question que s'est posée M. PAPINUTTI de
la direction des transports terrestres représentant du
ministère ? rien encore ne permet de le penser mais sa déclaration
officielle de surseoir à l'application de ces mesures en
attendant une concertation avec les usagers
laisse espérer qu'une nouvelle politique est en marche qui en
sauvant la Voie d'Eau réduira les pollutions en délestant la
route.
Contrat d'objectif entre État et VNF ~ schémas
directeur de travail sur : le service - les horaires - le
dragage - la Sécurité ~ Participation de la région pour 1
million d'€ sont les nouveautés annoncées.
L'ordre du jour a pu se dérouler avec
ses difficultés de moyens face aux nombreuses doléances qui
resteront au tableau comme jadis certains chargements.
35H et RTT ne pas se tromper d'ennemi : Le
bon mot d'un défenseur de la corporation "Il
faut cohabiter : nous on doit pouvoir travailler eux ils doivent
pouvoir s'amuser " il ne faudra pas faire
porter la responsabilité aux opérationnels des voies
navigables, elle est ailleurs.
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démenti VNF
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